法语阅读莎士比亚(罗密欧与朱丽叶).doc

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资源描述

1、William Shakespeare Romeo et Juliette Romeo et Juliette Auteur : William Shakespeare Catgorie : Thatre Romo, un Montaigu, et Juliette, une Capulet, tombent perduement amoureux lun de lautre, alors que leurs familles se vouent une haine froce depuis des lustres. Licence : Domaine public PROLOGUE PROL

2、OGUE LE CHOEUR Deux familles, gales en noblesse, Dans la belle Vrone, o nous pla.ons notre scne, Sont entra.nes par danciennes rancunes des rixes nouvelles o le sang des citoyens souille les mains des citoyens. Des entrailles prdestines de ces deux ennemies a pris naissance, sous des toiles contrair

3、es, un couple damoureux dont la ruine nfaste et lamentable doit ensevelir dans leur tombe lanimosit de leurs parents. Les terribles pripties de leur fatal amour et les effets de la rage obstine de ces familles, que peut seule apaiser la mort de leurs enfants, Vont en deux heures tre exposs sur notre

4、 scne. Si vous daignez nous couter patiemment, Notre zle sefforcera de corriger notre insuffisance. LE CHOEUR ACTE PREMIER ACTE PREMIER SCENE PREMIERE Vrone. - Une place publique. Entrent Samson et Grgoire, arms dpes et de boucliers. SAMSON. - Grgoire, sur ma parole, nous ne supporterons pas leurs b

5、rocards. GRGOIRE. - Non, nous ne sommes pas gens porter le brocart. SAMSON. - Je veux dire que, sils nous mettent en colre, nous allongeons le couteau. GRGOIRE. - Oui, mais prends garde quon ne tallonge le cou t.t ou tard. SAMSON. - Je frappe vite quand on mmeut. GRGOIRE. - Mais tu es lent tmouvoir.

6、 SAMSON. - Un chien de la maison de Montague mmeut. GRGOIRE. - Qui est mu, remue ; qui est vaillant, tient ferme ; consquemment, si tu es mu, tu laches pied. SAMSON. - Quand un chien de cette maison-l mmeut, je tiens ferme. Je suis dcid prendre le haut du pav sur tous les Montagues, hommes ou femmes

7、. GRGOIRE. - Cela prouve que tu nes quun faible dr.le ; les faibles sappuient toujours au mur. SAMSON. - Cest vrai ; et voil pourquoi les femmes tant les vases les plus faibles, sont toujours adosses au mur ; aussi, quand jaurai affaire aux Montagues, je repousserai les hommes du mur et jy adosserai

8、 les femmes. GRGOIRE. - La querelle ne regarde que nos ma.tres et nous, leurs hommes. SAMSON. - Nimporte ! je veux agir en tyran. Quand je me serai battu avec les hommes, je serai cruel avec les femmes. Il ny aura plus de vierges ! GRGOIRE. - Tu feras donc sauter toutes leurs ttes ? SAMSON. - Ou tou

9、s leurs pucelages. Comprends la chose comme tu SCENE PREMIERE Romeo et Juliette voudras. GRGOIRE. - Celles-l comprendront la chose, qui la sentiront. SAMSON. - Je la leur ferai sentir tant que je pourrai tenir ferme, et lon sait que je suis un joli morceau de chair GRGOIRE. - Il est fort heureux que

10、 tu ne sois pas poisson ; tu aurais fait un pauvre merlan. Tire ton instrument ; en voici deux de la maison de Montague. (Ils dgainent. ) Entrent Abraham et Balthazar. SAMSON. - Voici mon pe nue ; cherche-leur querelle ; je serai derrire toi. GRGOIRE. - Oui, tu te tiendras derrire pour mieux dguerpi

11、r SAMSON. - Ne crains rien de moi. GRGOIRE. - De toi ? Non, Morbleu. SAMSON. - Mettons la loi de notre c.t et laissons-les commencer. GRGOIRE. - Je vais froncer le sourcil en passant prs deux, et quils le prennent comme ils le voudront. SAMSON. - Cest-dire Comme ils noseront. Je Vais mordre mon pouc

12、e en les regardant, et ce sera une disgrace pour eux, sils le supportent. ABRAHAM, Samson. - Est-ce notre intention que vous mordez votre pouce, monsieur ? SAMSON. - Je mords mon pouce, monsieur. ABRAHAM. - Est-ce notre intention que vous mordez votre pouce, monsieur ? SAMSON, bas Grgoire. - La loi

13、est-elle de notre c.t, si je dis oui ? GRGOIRE, bas Samson. - Non. SAMSON, haut Abraham. - Non, monsieur ce nest pas votre intention que je mords mon pouce, monsieur ; mais je mords mon pouce, monsieur. GRGOIRE, Abraham. - Cherchez-vous une querelle, monsieur ? ABRAHAM. - Une querelle, monsieur ? No

14、n, monsieur ! SAMSON. - Si vous en cherchez une, monsieur, je suis votre homme. Je sers un ma.tre aussi bon que le v.tre. ABRAHAM. - Mais pas meilleur. SAMSON. - Soit, monsieur. Entre, au fond du thatre, Benvolio ; puis, distance, derrire lui, Tybalt. GRGOIRE, Samson. - Dis meilleur ! Voici un paren

15、t de notre ma.tre. SAMSON, Abraham. - Si fait, monsieur, meilleur ! SCENE PREMIERE Romeo et Juliette ABRAHAM. - Vous en avez menti. SAMSON. - Dgainez, si vous tes hommes ! (Tous se mettent en garde. ) Grgoire, souviens-toi de ta ma.tresse botte ! BENVOLIO, savan.ant la rapire au poing. - Sparez-vous

16、, imbciles ! rengainez vos pes ; vous ne savez pas ce que vous faites. (Il rabat les armes des valets. ) TYBALT, slan.ant, lpe nue, derrire Benvolio. -Quoi ! lpe la main, parmi ces marauds sans coeur ! Tourne-toi, Benvolio, et fais face ta mort. BENVOLIO, Tybalt. - Je ne veux ici que maintenir la pa

17、ix ; rengaine ton pe, ou emploie-la, comme moi, sparer ces hommes. TYBALT. - Quoi, lpe la main, tu parles de paix ! Ce mot, je le hais, comme je hais lenfer, tous les Montagues et toi. toi, lache ! Tous se battent. Dautres partisans des deux maisons arrivent et se joignent la mle. Alors arrivent des

18、 citoyens arms de batons. PREMIER CITOYEN. - loeuvre les batons, les piques, les partisanes ! Frappez ! crasez-les ! bas les Montagues ! bas les Capulets ! Entrent Capulet, en robe de chambre, et lady Capulet. CAPULET. - Quel est ce bruit ?. Hol ! quon me donne ma grande pe. LADY CAPULET. - Non ! un

19、e bquille ! une bquille !. Pourquoi demander une pe ? CAPULET. - Mon pe, dis-je ! le vieux Montague arrive et brandit sa rapire en me narguant ! Entrent Montague, lpe la main, et lady Montague. MONTAGUE. - toi, misrable Capulet !. Ne me retenez pas ! lachez-moi. LADY MONTAGUE, le retenant. - Tu ne f

20、eras pas un seul pas vers ton ennemi. Entre le prince Escalus, avec sa suite. LE PRINCE. - Sujets rebelles, ennemis de la paix ! profanateurs qui souillez cet acier par un fratricide !. Est-ce quon ne mentend pas ?. Hol ! vous tous, hommes ou brutes, qui teignez la flamme de votre rage pernicieuse d

21、ans les flots de pourpre chapps de vos veines, sous peine de SCENE PREMIERE Romeo et Juliette torture, obissez ! Que vos mains sanglantes jettent terre ces pes trempes dans le crime, et coutez la sentence de votre prince irrit ! (Tous les combattants sarrtent. ) Trois querelles civiles, nes dune par

22、ole en lair, ont dj troubl le repos de nos rues, par ta faute, vieux Capulet, et par la tienne, Montague ; trois fois les anciens de Vrone, dpouillant le vtement grave qui leur sied, ont d. saisir de leurs vieilles mains leurs vieilles partisanes, gangrenes par la roule, pour sparer vos haines gangr

23、enes. Si jamais vous troublez encore nos rues, votre vie payera le dommage fait la paix. Pour cette fois, que tous se retirent. Vous, Capulet, venez avec moi ; et vous, Montague, vous vous rendrez cette aprs-midi, pour conna.tre notre dcision ultrieure sur cette affaire, au vieux chateau de Villafra

24、nca, sige ordinaire de notre justice. Encore une fois, sous peine de mort, que tous se sparent ! (Tous sortent, except Montague, lady Montague et Benvolio.) MONTAGUE. - Qui donc a rveill cette ancienne querelle ? Parlez, neveu, tiez-vous l quand les choses ont commenc ? BENVOLIO. - Les gens de votre

25、 adversaire et les v.tres se battaient ici outrance quand je suis arriv ; jai dgain pour les sparer ; linstant mme est survenu le fougueux Tybalt, lpe haute, vocifrant ses dfis mon oreille, en mme temps quil agitait sa lame autour de sa tte et pourfendait lair qui narguait son impuissance par un sif

26、flement. Tandis que nous changions les coups et les estocades, sont arrivs des deux c.ts de nouveaux partisans qui ont combattu jusqu ce que le prince soit venu les sparer LADY MONTAGUE. - Oh ! o est donc Romo ? lavez-vous vu aujourdhui ? Je suis bien aise quil nait pas t dans cette bagarre. BENVOLI

27、O. - Madame, une heure avant que le soleil sacr per.at la vitre dor de lOrient, mon esprit agit ma entra.n sortir ; tout en marchant dans le bois de sycomores qui stend louest de la ville, jai vu votre fils qui sy promenait dj ; je me suis dirig vers lui, mais, mon aspect, il sest drob dans les prof

28、ondeurs du bois. Pour moi, jugeant de ses motions par les miennes, qui ne sont jamais aussi absorbantes que quand elles sont solitaires, jai suivi ma fantaisie sans poursuivre la sienne, et jai vit volontiers qui me fuyait si volontiers. MONTAGUE. - Voil bien des matines quon la vu l augmenter de se

29、s SCENE PREMIERE Romeo et Juliette larmes la fra.che rose du matin et force de soupirs ajouter des nuages aux nuages. Mais, aussit.t que le vivifiant soleil commence, dans le plus lointain Orient, tirer les rideaux ombreux du lit de lAurore, vite mon fils accabl fuit la lumire ; il rentre, semprison

30、ne dans sa chambre, ferme ses fentres, tire le verrou sur le beau jour et se fait une nuit artificielle. Ah ! cette humeur sombre lui sera fatale, si de bons conseils nen dissipent la cause. BENVOLIO. - Cette cause, la connaissez-vous, mon noble oncle ? MONTAGUE. - Je ne la connais pas et je nai pu

31、lapprendre de lui. BENVOLIO. - Avez-vous insist prs de lui suffisamment ? MONTAGUE. - Jai insist moi-mme, ainsi que beaucoup de mes amis ; mais il est le seul conseiller de ses passions ; il est lunique confident de lui-mme, confident peu sage peut-tre, mais aussi secret, aussi impntrable, aussi fer

32、m la recherche et lexamen que le bouton qui est rong par un ver jaloux avant de pouvoir panouir lair ses ptales embaums et offrir sa beaut au soleil ! Si seulement nous pouvions savoir do lui viennent ces douleurs, nous serions aussi empresss pour les gurir que pour les conna.tre. Romo para.t distan

33、ce. BENVOLIO. - Tenez, le voici qui vient. loignez-vous, je vous prie ; ou je conna.trai ses peines, ou je serai bien des fois refus. MONTAGUE. - Puisses-tu, en restant, tre assez heureux pour entendre une confession complte !. Allons, madame, partons ! (Sortent Montague et lady Montague.) BENVOLIO.

34、 - Bonne matine, cousin ! ROMO. - Le jour est-il si jeune encore ? BENVOLIO. - Neuf heures viennent de sonner. ROMO. - Oh ! que les heures tristes semblent longues ! Nest-ce pas mon pre qui vient de partir si vite ? BENVOLIO. - Cest lui-mme. Quelle est donc la tristesse qui allonge les heures de Rom

35、o ? ROMO. - La tristesse de ne pas avoir ce qui les abrgerait. BENVOLIO. - Amoureux ? ROMO. - perdu. BENVOLIO. - Damour ? SCENE PREMIERE Romeo et Juliette ROMO. - Des ddains de celle que jaime. BENVOLIO. - Hlas ! faut-il que lamour si doux en apparence, soit si tyrannique et si cruel lpreuve ! ROMO.

36、 - Hlas ! faut-il que lamour malgr le bandeau qui laveugle, trouve toujours, sans y voir, un chemin vers son but !. O d.nerons-nous ?. . mon Dieu !. Quel tait ce tapage ?. Mais non, ne me le dis pas, car je sais tout ! Ici on a beaucoup faire avec la haine, mais plus encore avec lamour. Amour ! . tu

37、multueux amour ! . amoureuse haine ! . tout, cr de rien ! . lourde lgret ! Vanit srieuse ! Informe chaos de ravissantes visions ! Plume de plomb, lumineuse fume, feu glac, sant maladive ! Sommeil toujours veill qui nest pas ce quil est ! Voil lamour que je sens et je ny sens pas damour. Tu ris, nest

38、-ce pas ? BENVOLIO. - Non, cousin : je pleurerais plut.t. ROMO. - Bonne ame !. et de quoi ? BENVOLIO. - De voir ta bonne ame si accable. ROMO. - Oui, tel est leffet de la sympathie. La douleur ne pesait qu mon coeur, et tu veux ltendre sous la pression de la tienne : cette affection que tu me montre

39、s ajoute une peine de plus lexcs de mes peines. Lamour est une fume de soupirs ; dgag, cest une flamme qui tincelle aux yeux des amants ; comprim, cest une mer qualimentent leurs larmes. Quest-ce encore ? La folle la plus raisonnable, une suffocante amertume, une vivifiante douceur !. Au revoir, mon

40、 cousin. (Il va pour sortir ) BENVOLIO. - Doucement, je vais vous accompagner : vous me faites injure en me quittant ainsi. ROMO. - Bah ! je me suis perdu moi-mme ; je ne suis plus ici ; ce nest pas Romo que tu vois, il est ailleurs. BENVOLIO. - Dites-moi srieusement qui vous aimez. ROMO. - Srieusem

41、ent ? Romo ne peut le dire quavec des sanglots. BENVOLIO. - Avec des sanglots ? Non ! dites-le-moi srieusement. ROMO. - Dis donc un malade de faire srieusement son testament ! Ah ! ta demande sadresse mal qui est si mal ! Srieusement, cousin, jaime une femme. BENVOLIO. - En le devinant, javais touch juste. ROMO. - Excellent tireur !. jajoute quelle est dune clatante beaut. BENVOLIO. - Plus le but est clatant, beau cousin, plus il est facile SCENE PREMIERE

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